Un baiser d'adieu pour la longévité ? Une étude relie l'affection à une vie plus longue grâce aux hormones et à la réduction du stress

Une observation récente suggère qu'un baiser d'adieu pourrait contribuer à la longévité. Le baiser stimule la libération d'ocytocine (l'hormone de l'attachement) et de dopamine (qui améliore l'humeur et le plaisir), tout en réduisant le cortisol, l'hormone du stress. Le baiser déclenche la libération d'hormones de bien-être, améliorant potentiellement le bien-être émotionnel. La réduction des niveaux de cortisol peut diminuer le risque de problèmes de santé liés au stress. L'acte d'embrasser peut améliorer l'intimité et la résilience émotionnelle. Des articles font référence à une étude allemande des années 1980 menée par le Dr Arthur Szabo qui a observé que les hommes qui embrassaient leur femme avant d'aller travailler vivaient, en moyenne, cinq ans de plus que ceux qui ne le faisaient pas. Cet acte d'affection pourrait être la clé d'une meilleure satisfaction relationnelle, d'une résilience émotionnelle et même d'une meilleure santé cardiaque, ajoutant potentiellement des années à la vie. Cette étude a également révélé que les hommes qui embrassaient leur femme avant de partir au travail gagnaient de 20 à 35 % d'argent en plus et utilisaient moins de jours de maladie que leurs collègues qui partaient sans baiser d'adieu.