Escalade du conflit Israël-Liban
Le 12 octobre 2024, l'armée israélienne a signalé avoir mené des frappes aériennes sur environ 280 cibles associées au Hezbollah au Liban et au Hamas à Gaza pendant Yom Kippour, une fête juive importante. Les frappes ont ciblé des infrastructures militaires, des dépôts d'armes et des cellules terroristes. Suite à des évaluations de sécurité, l'armée israélienne a fermé plusieurs zones près de la frontière nord avec le Liban en raison des tirs de roquettes du Hezbollah, qui aurait lancé environ 320 projectiles vers Israël pendant cette période.
Victimes des frappes israéliennes
Le ministère de la Santé libanais a confirmé que neuf personnes avaient été tuées et 28 autres blessées lors de deux frappes aériennes israéliennes ciblant des villages au nord et au sud de Beyrouth, des zones traditionnellement non associées aux bastions du Hezbollah. Ces frappes ont suscité des inquiétudes quant à l'escalade de la violence dans la région.
Visite du leader parlementaire iranien au Liban
En réponse au conflit en cours, le leader parlementaire iranien Mohammad Baqer Qalibaf a condamné les actions israéliennes lors d'une visite au Liban, où il a rencontré des responsables du Hezbollah et des dirigeants libanais. Il a souligné la nécessité d'une intervention internationale pour mettre fin à ce qu'il a qualifié de crimes commis par Israël.
Réaction des États-Unis aux menaces iraniennes contre Trump
Le même jour, le président américain Joe Biden a ordonné au Conseil de sécurité nationale d'avertir l'Iran que toute tentative contre la vie de l'ancien président Donald Trump serait considérée comme un acte de guerre. Cette déclaration fait suite à des rapports de renseignement suggérant que l'Iran pourrait être impliqué dans des complots pour assassiner Trump, qui se présente à nouveau à la présidence. Biden a engagé toutes les ressources nécessaires pour garantir la sécurité de Trump face aux menaces persistantes.