Des efforts récents pour préserver la biodiversité ont souligné l'importance de la flore et de la faune à travers le monde. Au Vietnam, le projet de conservation Bio LAK a réalisé des avancées significatives dans la récupération des espèces végétales traditionnelles. Lancé en 2016, l'initiative a réussi à établir un jardin de conservation rempli de plantes indigènes connues pour leurs parfums uniques, notamment la périlla et la goyave. L'équipe vise à intégrer ces plantes précieuses dans la vie quotidienne, en mettant l'accent sur leurs propriétés médicinales.
Bio LAK s'est également aventuré dans l'industrie cosmétique, produisant des produits de soin de la peau sûrs et Non-OGM dérivés de la flore native. Leur engagement envers la durabilité et la sécurité garantit que ces produits sont non seulement bénéfiques pour les consommateurs, mais contribuent également à la préservation du patrimoine végétal du Vietnam.
Dans le même temps, à Trigance, en France, un récent atlas de biodiversité a révélé les riches écosystèmes présents dans la région. Réalisée par le Parc naturel régional du Verdon, l'étude a identifié diverses espèces protégées, dont le campagnol amphibie et la musaraigne aquatique, prospérant près de la rivière Jabron. Les résultats soulignent l'équilibre délicat de l'environnement local, où la flore alpine et méditerranéenne coexiste.
Les deux initiatives soulignent le rôle critique de la biodiversité dans le maintien de la santé écologique. Alors que le changement climatique pose des menaces croissantes aux habitats à travers le monde, ces projets servent de rappels vitaux de la nécessité de conservation et de pratiques durables.